« Les 1000 premiers jours de vie peuvent influer de manière décisive sur l’avenir d’un enfant. Nous n’avons qu’une seule chance de lui offrir le meilleur départ possible ». |
UNICEF
« La bonne alimentation de l’enfant commence par celle de sa mère pendant la grossesse et se poursuit par celle de l’enfant. Les aliments constituent le 1er médicament de l’enfant. Ce qui nous renvoie au concept « des mille premiers jours » qui sont déterminants pour la santé de l’enfant et du couple mère-enfant. C’est une « fenêtre d’opportunité » allant de la conception (début de la grossesse) à l’âge de 2 ans (pour l’enfant). Les 1000 premiers jours sont une période unique et critique pour la mise en place du potentiel physique, psychomoteur, intellectuel et cognitif de l’enfant. Les apports nutritionnels adaptés pendant cette période sont nécessaires pour la qualité de la survie à court et long terme et préviennent la survenue de certaines maladies chroniques à l’âge adulte. La future mère doit avoir une alimentation bien équilibrée pendant la grossesse. Après la naissance de l’enfant, l’allaitement doit être exclusif jusqu’à l’âge de 6 mois puis la diversification commence par l’apport d’aliments de complément (bouillie de céréales, purée de légumes, fruits puis protéines animales …) avec la poursuite de l’allaitement jusqu’à 2 ans et plus ».
Pr DIARRA YE, Présidente de la Société Burkinabé de Pédiatrie (SOBUPED), OUAGADOUGOU.
in ‘’Le Pays’’ du 22 août 2018 |
Le programme « Les 1000 premiers jours » a été initié par l’UNICEF en 2012.
« Dans le monde, des millions d’enfants souffrent de malnutrition, particulièrement dévastatrice au cours de leurs 1000 premiers jours. Les progrès spectaculaires réalisés ces dernières années montrent pourtant qu’il est possible de vaincre ce fléau ».
« 1000 jours pour faire la différence. Dans la lutte contre la malnutrition, les 1000 premiers jours de l’enfant sont décisifs, dès sa conception : les enfants atteints de malnutrition aiguë sévère risquent neuf fois plus de mourir que les enfants bien nourris. Mais, dans le même temps, 75 % des enfants soignés peuvent se rétablir. 165 millions d’enfants de moins de cinq ans sont concernés par cette face cachée de la pauvreté.»
« Pour passer ces 1000 premiers jours sans encombre, l’enfant et la mère doivent avoir accès à une alimentation diversifiée, riche en nutriments et peu coûteuse, des pratiques maternelles et des soins de l’enfant adaptés, ou encore des services de santé adéquats. Tout aussi important, l’accès à l’eau potable, à des installations sanitaires et une bonne hygiène doivent être assurés.»
https://www.unicef.fr/article/malnutrition-1000-jours-chrono
Publié le 24 avril 2013 | Modifié le 28 décembre 2015
De la connaissance à l’action
Les connaissances sur la nécessité absolue de préserver l’avenir des enfants et les solutions qui existent, doivent conduire à mettre en œuvre les directives de l’UNICEF, en particulier celles qui sont efficaces et peu coûteuses.
Dans les pays où les enfants ne souffrent pas de malnutrition, le Programme UNICEF « Les 1000 Premiers Jours » met l’accent sur les conditions de développement psychoaffectif et relationnel, et souligne l’importance de l’allaitement maternel. Ces dimensions doivent aussi être prises en compte dans les pays où la première préoccupation est de fournir à l’enfant une alimentation équilibrée apportant protéines et énergie en quantité suffisante.
Le Projet BAMiSA apporte sa contribution au Programme « Les 1000 Premiers Jours » sur le plan nutritionnel. La consommation de Bouillie Concentrée BAMiSA par la mère comme par l’enfant permet de lutter contre la malnutrition à tous les stades des 1000 premiers jours :
Pendant la grossesse.
La lutte contre la malnutrition infantile commence en effet dès la gestation. Une maigreur de la mère est un handicap et le faible poids de naissance est déjà un marqueur de malnutrition. La mère doit donc être correctement alimentée pendant la grossesse pour éviter que les enfants n’aient un poids de naissance trop faible. La consommation régulière de Bouille Concentrée BAMiSA par la femme enceinte contribue à une bonne alimentation du bébé in utero.
Pendant l’allaitement.
Pour que l’enfant grossisse rapidement, la lactation maternelle doit être abondante. Pour que la lactation puisse être maintenue deux ans, la mère a besoin d’une alimentation équilibrée et abondante. Elle ne peut indéfiniment puiser dans ses réserves. La consommation régulière de Bouille Concentrée BAMiSA par la mère peut contribuer à maintenir une bonne lactation.
Quand l’enfant commence à manger.
La Bouillie Concentrée Liquéfiée BAMiSA est conçue comme un complément à l’allaitement maternel. A partir de six mois, elle complète les besoins protéiques et énergétiques de l’enfant, et contribue à la diversification alimentaire.
Et si l’enfant est sevré prématurément ou orphelin.
Si l’enfant est privé du lait maternel avant les 1000 jours, la consommation de Bouillies Concentrées Liquéfiées est possible dès 4 mois jusqu’à deux ans (et au-delà). Cette consommation contribue à prévenir et réduire une malnutrition débutante de l’enfant.
‘’Un bol pour l’enfant, un autre pour la maman’’
« Agir, ça marche » !
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